Laminak.

Publié le 20/06/2008
Tags: #sexe entre hommes #muscles #consensuel #anal #oral #mythologie

Je m'en souviens encore. Je pense que je m'en souviendrai pendant toute ma vie.

J'avais fini ma seconde année de fac avec ma mention bien, ce qui m'avait permis de convaincre mes parents : je pouvais organiser mes vacances comme je le souhaitais. Et ce que je souhaitais, c'était juste une randonnée en montagne. Mais pas n'importe quelle randonnée. J'avais l'intention de partir pendant au moins un mois et de marcher le plus possible.

Et j'étais parti. Un sac à dos, une bonne paire de chaussures, un set d'habits de rechange, un sac de couchage et assez de cartes IGN pour tapisser une chambre. À part ça, pas grand-chose. Juste mon portefeuille et mon téléphone portable. Je comptais vraiment vivre en montagne autant que possible, en évitant les hordes de touristes et autres randonneurs du dimanche.

Le premier jour, après avoir fait quelques réserves de nourriture, j'avançais bien. J'étais encore sur les sentiers bien fréquentés, mais en pleine semaine, il n'y avait pas foule. Je dormis cette nuit dans une maison encore en état d'un village abandonné au milieu du siècle précédent. Je dormis d'un sommeil paisible, heureux comme je ne l'avais pas été depuis longtemps.

Je continuais comme ça pendant une bonne semaine, retournant de temps en temps dans les villages pour me ré-approvisionner, me lavant et nettoyant mes affaires dans les torrents de montagne, séchant mes habits et mon corps aux rayons du soleil estival et dormant dans des maisons abandonnées mais maintenues en état.

Un soir, alors que je m’installais dans un de ces refuges, je vis la porte s’ouvrir. Un jeune homme entra, qui me ressemblait beaucoup. Pas physiquement, mais au niveau de l’équipement. Comme moi, il portait un sac à dos, des vêtements légers et des chaussures de randonnées. Il avait aussi un bâton qu’il avait du récupérer en coupant une branche. Physiquement, il était un peu plus petit que moi, mais un peu plus large d’épaules. Ses cheveux étaient très bruns et ses yeux marrons. Son short dévoilait des mollets bien velus, mais son torse nu n'arborait que quelques poils entre son nombril et sa ceinture. Il avait un visage avenant et souriant. Il était aimable, au sens premier du terme. Et surtout il était magnifique. Même si je lui en voulais de me déranger dans ma solitude, je ne pouvais pas le chasser.

"Oh, bonsoir, je ne voulais pas m'imposer mais la nuit tombe et la prochaine cabane est un peu trop loin.

- Il n'y a pas de problème. La montagne et les cabanes sont à tout le monde." Dis-je avec un mouvement du bras lui indiquant d'entrer. Ce qu'il fit. Il s'assit à coté de moi sur le banc devant la cheminée, sortit de la nourriture de son sac et se tournant vers moi, me dit :

"Je vois que tu te préparais à manger. Ça t'intéresse de partager ? Ça évite la routine.

- Pourquoi pas. Mais je n'ai que du saucisson et quelques chips.

- C'est pas grave. J'ai de l'agneau, des tomates et un peu de tartes aux pommes."

Effectivement, il avait tout ça. Se penchant, il mit la viande à réchauffer devant le feu de bois. Je me retrouvais avec ses fesses bien moulées à hauteur de mes yeux. La surprise passée, j'en profitais pour les admirer. Lorsqu'il se retourna, j'avais repris une expression normale. Pendant que la viande chauffait, nous mangeâmes le saucisson et les tomates. Ce fut un délicieux repas : des côtelettes d'agneau délicieusement cuites au feu de bois, des tomates du jardin et une tarte aux pommes faite maison. Je lui demandais s'il avait préparé tout ça lui-même.

"Oui, oui, mais je sais faire plein d'autres choses tout aussi agréables."

Je n'en revenais pas. Mais je ne pouvais pas me tromper : il me faisait des avances. Je comprenais mieux sa position de tout à l'heure. Ses paroles étaient peut-être à double sens, mais son regard et ses manières expliquaient ouvertement ce qu'il voulait. Je ne pus sortir qu'un "ah bon ?" timide en rougissant. Il s'approcha doucement de moi et voyant que je ne bougeais pas, posa une main sur ma nuque et m'embrassa avec fougue. Au début, je restais sans réaction, mais il était très doué et rapidement, je participais moi aussi à l'action. Je le pris dans mes bras et le serrai contre moi pendant que nos langues se mélangeaient. Petit à petit, son autre main caressa ma cuisse, remontant vers mon entrejambe. Je la sentis même passer sous mon propre short.

Je m'écartai un peu de lui et le regarda dans les yeux. Il passa sa langue sur ses lèvres, lentement, comme pour récupérer un goût. Sa main était toujours sur ma cuisse, sans bouger cependant. J'ouvris la bouche pour parler, mais il porta un doigt à mes lèvres, me faisant signe de ne pas parler. Puis il descendit du banc. Il m'enleva mes chaussures, puis mes chaussettes. Il commença à me masser les pieds, en me regardant dans les yeux. Je voulus encore dire quelque chose, mais il me dit "chut!" pour que je me taise. Je me laissai porter par le massage et j'en oubliai rapidement tout le reste.

Lorsqu'il fut satisfait de son massage, il se leva. Je rouvris les yeux. Il avait posé les mains sur son short et avait commencé à défaire les boutons. Il l'ouvrit en entier. Il ne portait rien dessous et son membre sortit directement, droit comme un i. Et vraiment comme un i. Pas plus épais que la moyenne mais assez long. À vue de nez, 21 cm. Et pour couronner tout ça, un bout un peu plus large que le reste. J'avais à la fois très envie et un peu peur. Je remarquais aussi que ses fesses et son entrejambe étaient aussi bruns que le reste de son corps. Je me dis qu'il devait souvent bronzer complètement nu.

Il s'approcha de moi, passa un bras derrière mes épaules, un autre sous mes jambes et me porta sans aucun signe d'effort jusqu'à un matelas proche. Il me coucha dessus et s'étendit de tout son long sur moi. Je sentais son sexe dur contre mon ventre et le mien essayer de se libérer de sa prison de tissu. Le jeune homme, dont je ne connaissais toujours pas le nom, se remit à m'embrasser. Il le faisait avec tellement de fougue! Un peu comme si sa vie en dépendait. Lorsqu'il s'arrêta pour reprendre son souffle, je lui demandai son nom.

"Appelle-moi Laminak.

- Laminak ? C'est bizarre comme nom. Ça vient d'ici ?

-Oui, ma famille a toujours habité les montagnes. Mais ne nous occupons pas de ça maintenant."

Ce disant, il se souleva et se retourna. Sa verge était maintenant directement au dessus de mon visage. Je n'hésitais plus et l'avalais goulûment. Pendant ce temps, je sentais mon partenaire me débarrasser de mes derniers vêtements. Je soulevais mes fesses du matelas pour qu'il puisse enlever mon short et mon boxer (tout d'un seul geste). Je les avais à peine reposées qu'il avait lui-même englouti mon sexe dans sa bouche. Pendant un moment, chacun suça le sexe de l'autre, sans fioritures. Puis il fit différentes choses. Je ne me souviens pas de toutes. Je sais qu'il avait essayé d'entrer sa langue dans mon méat. Je sais qu'il m'avait mordillé, mais avec douceur. Je sais que sa langue pouvait s'étirer bien à l'extérieur de sa bouche et qu'il ne se gênait pas pour en user. J’essayais de ne pas être de reste, mais il semblait résister à tout ce que je pouvais lui faire. Pourtant, j’avais de l’entraînement de mon coté et aucun des hommes que j’avais connus n’avait résisté aussi longtemps. J’essayais de mon coté de ne pas venir tout de suite, mais il m’excitait vraiment beaucoup et le point de non-retour approchait à grand pas.

Laminak dut le sentir puisqu'il s'arrêta. Il commença à changer de position. J'essayais de garder sa verge en moi mais il s'échappa facilement. Il vint se placer face à moi à genoux entre mes jambes. Lorsqu'il plaça mes jambes sur ses épaules, je lui dis : "Vas-y doucement", mais il se pencha en avant et encore une fois, je sentis sa langue agile. Il avait juste changé de cible. Il me léchait maintenant la raie avec un enthousiasme impressionnant. Au bout de quelques instants, sa langue s'introduisit dans mon trou. D'abord, le bout avait juste touché l'entrée, puis il avait continue à lécher jusqu'à entrer. Je posais mes mains sur sa tête, n'osant pas me toucher moi-même. Je savais que si je ne faisais qu'un seul aller-retour sur ma hampe, j'allais éjaculer. Et je voulais attendre autant que possible. Je me contentais donc de profiter, sans bouger

Lorsqu'il eut léché et goûté mon anus à son contentement, il se releva. Je sentais sa salive dans ma raie. Il se mit alors dans la position que je redoutais depuis le début : à genoux face à moi, son sexe bien raide, mes jambes sur ses épaules et mon trou complètement exposé. Ma peur devait se lire sur mon visage. Il me dit : "Ne t'inquiète pas, je sais y faire." Il positionna ma verge contre mon trou et se pencha vers moi avec une douceur et une lenteur extrême. Puis, d'un coup sec, il s'enfonça en moi autant qu'il put. Je criai de toutes mes forces et j'essayai de le repousser, mais je n'étais pas en position de force. Il attrapa mes bras et resta en position. Il ne bougeait plus malgré mes demandes répétées. Mon anus était en feu et surtout bien rempli. Je pensais qu'il était déchiré, tellement j'avais mal. Laminak, que je haïssais à cet instant, me disait : "Calme toi, tu vas t'habituer. Tu vas voir, ça va passer." Effectivement, peu à peu, la douleur est passée. Je souffrais quand même pendant de longues minutes. Au bout d'un moment, je me sentais toujours aussi plein, mais j'avais moins mal. Quand il a vu que la douleur m'avait quitté, il se remit à bouger. Il se retira un peu, pas complètement. Puis il repartit en avant, un peu plus. Il fit des allers-retours en moi, d'abord assez courts puis de plus en plus longs. D'avant en arrière, puis d'arrière en avant. Non seulement, je n'avais plus mal, mais en plus ça devenait bon. Je ressentais enfin du plaisir. Mon propre sexe, rétréci par la douleur, était redevenu dur, suite aux caresses de Laminak. Et avant que je m'en rende compte, il avait réussi à me pénétrer complètement. Lorsque son chibre fur entièrement en moi, il s'arrêta. Il se pencha sur moi et m'embrassa goulûment. "Tu vois, ce n'était pas si dur." Me dit-il. "Si, c'était dur. Mais ça valait le coup" J'attirai son visage vers le mien et initiai un profond baiser. J'étais impressionné. Par lui, pour son savoir-faire et par moi pour avoir pris son sexe entier.

Il rompit le baiser et reprit ses allers-retours. Je sentais son sexe bouger en moi. De temps en temps, il se retirait complètement puis revenait à l'assaut d'un coup sec. Je ressentais une petite douleur à chaque fois que son gland passait mon trou, mais le plaisir qui venait après était assez grand pour me faire oublier le reste. Ses va-et-vient prirent de la vitesse. Comme il pouvait s'introduire au plus profond, il en profitait.Il allait et venait de plus en plus vite. Je me laissais faire, sans aucune autre action que des gémissements et des râles de plaisir. À chacun de ses allers, il touchait ce fameux point au fond de moi et à chaque fois, la décharge de plaisir me traversait. À chaque fois, mon propre sexe se raidissait et vibrait. Je sentais encore une fois venir le point de non-retour. Et je voyais que Laminak s'en approchait aussi. Après un grand coup de rein, il s'arrêta et je sentis son sperme tout au fond de moi. Cette délicieuse sensation déclencha ma propre éjaculation. Je vins en grands jets, qui me couvrirent, de mon visage à mon nombril. Sans se retirer, Laminak se pencha sur moi et me nettoya complètement, à l'aide de sa délicieuse langue. Il commença par le nombril, puis remonta jusqu'à mon visage. À la fin, il m'embrassa encore et je pus goûter mon propre sperme sur sa langue.

Nous étions tous deux assez fatigués après ça et le sommeil nous emporta rapidement. Je me réveillais de nombreuses fois pendant la nuit et chaque fois, je me rendormais, heureux de sentir le corps de Laminak contre le mien. Mais au matin, lorsque je fus réveillé par le chant des oiseaux, je ne trouvais plus personne à mes cotés. Je me levais et regardais autour. Plus aucune trace du jeune homme. Ses affaires avaient complètement disparues, mais les miennes étaient toujours là. En fait, je retrouvais mes vêtements propres et bien pliés ainsi que plus de nourriture que j'en avais avant. Sur la pile de linge, je trouvais une feuille pliée en deux. Elle contenait un message écrit au stylo-bille :

"Merci pour tout. J'ai beaucoup aimé cette nuit. J'ai nettoyé tes affaires et je t'ai laissé un peu de nourriture.

Si tu repasses dans le coin, appelle et je viendrai. Mais pas cette année.

Laminak"

En plus de la signature, je trouvais au bas de la feuille quelques taches claires. Je souris en repensant à la nuit précédente et au plaisir que j'avais ressenti. Je me fis la promesse de revenir dès que possible, rangea mes affaires dans mon sac, sans oublier la lettre et repris mon chemin à travers les montagnes. Peut-être que rencontrer d'autres randonneurs n'était pas si mal que ça, tout compte fait.

Image stylisée d'une silhoutte humaine attachée dans une cage. L'humain est couché sur le ventre, poignets et chevilles reliés par une corde dans son dos. Il porte un bandeau sur les yeux. La cage est completée d'une grosse serrure.