Une nuit avant Noël.
Publié le 21/12/2011
Tags: #sexe entre hommes #Noël #muscles #consensuel #anal #oral #vanilla
L'activité est grande en cette nuit de décembre. Noël approche et tout doit être prêt pour la nuit fatidique. Les lutins courent dans tous les sens. (Et comme ils sont tous grands et fins, ça fait beaucoup de mouvements de membres.) Le Père Noël fait le tour de tous les ateliers pour vérifier que tout se passe sans anicroche. Mais soudain, au détour d'un couloir, la personnification anthropomorphique entend un bruit de course derrière lui. Il se retourne et voit arriver une demi-douzaine de lutins à fond de train.
"Père Noël, Père Noël !
- Oui, les lutins, qu'y a-t-il ?
- On a un problème avec une série de commande.
- Vous ne trouvez pas les objets correspondants ?
- Si, si, mais on ne comprend pas bien comment ça marche.
- D'accord, montrez-moi la liste."
Le lutin tend un parchemin au Père Noël, qui commence à lire puis éclate d'un grand rire.
"Ça fait pas longtemps que vous travaillez là, les lutins, hein?
- Non, Père Noël!
- Et j'imagine que jusqu'à cette année vous vous êtes occupé des poupées et des petites voitures.
- Oui, Père Noël!
- Ok, suivez-moi."
Arrivé à son bureau, suivi des six lutins un peu appréhensifs, le Père Noël décroche son téléphone et appuie sur un bouton.
"Martin, pouvez vous me passer l'atelier de JB, svp? Merci.
- ...
- Allo, JB? C'est le Père Noël. Dis, j'ai besoin de toi. J'ai là 6 lutins qui ont besoin d'apprendre. Je te les envoie en stage, avec la liste des objets qu'ils doivent absolument connaître. Les trucs classiques, quoi.
- ... (Le regard du Père Noël s'assombrit.)
- Oui, je connais le prix. Non, pas maintenant, je n'ai vraiment pas le temps.
- ...
- Demain? Mais tu es fou? Tu sais quelle jour on est? Tout doit être prêt pour le 24!
- ...
- Oui. Non. Oui- Mais... D'accord, d'accord. Demain 9h. Oui. Je te les envoie."
Après avoir raccroché, le Père Noël se tourne vers les lutins. Il est bien moins souriant.
"Bon les lutins, vous prenez la liste, vous suivez ce plan et vous écoutez bien tout ce qu'on vous dit, vous regardez bien tout ce qu'on vous montre et vous faites tout ce qu'on vous ordonne. Si j'apprends que je dois vous y renvoyer, vous le regretterez.
- Oui, Père Noël! Bien, Père Noël!" Et les lutins de s'enfuir sans demander leur reste.
MARTIN!!" Le lutin se précipite dans le bureau de son chef. A entendre ce cri, il sait que le Père Noël n'est pas d'humeur à patienter. "Martin, approchez vous." Le Père Noël, affalé dans son fauteuil, se pince l'arrête du nez et pousse un grand soupir.
"Martin, s'il vous plaît, replanifiez tous mes rendez-vous pour la matinée de demain. De 8h à 12h.
- Oui, Monsieur.
- Je ne serai pas joignable pendant toute cette période. Vous vous débrouillerez tous sans moi.
- Bien, Monsieur
- Merci, Martin."
Pendant que le Père Noël se repose un peu, le lutin s'approche. Comme le Père Noël lui-même, il est très grand. Mais la ressemblance finit là. Alors que le Père Noël est volumineusement musclé et couvert de poils blancs, le lutin, comme ses congénères, est plus sec et complètement glabre. Pour faire un Père Noël, il faudrait 2 lutins (et 1 mouton, pour les poils).
Par contre, pour se faire le Père Noël, un seul lutin suffit. Et c'est le but de Martin. Il sait que ça décontractera son chef et il en a énormément envie lui-même. Il s'approche donc, petit à petit, puis se met à genoux devant le fauteuil. Il est maintenant très proche de l'entrejambe. Il peut voir la grosse bosse recouverte de tissu rouge. Simultanément, il pose sa main gauche sur la cuisse gauche et sa main droite pile sur la bosse. Et il caresse. Le Père Noël pousse un léger gémissement mais ne bouge pas. Presque pas : son membre durcit et grossit encore plus.
Martin continue à caresser la verge de la main droite. Avec la gauche, il passe sur la cuisse, puis remonte doucement, glisse sur le pli de la jambe, se dirige tendrement vers le nombril, puis continuer sa montée. Il passe sur les abdos fermes, puis glisse sous les courbes des pectoraux. Le bras tendu, il sent sous ses doigts à travers la chemise un téton. Il stoppe là. Il fait maintenant deux mouvements de caresse : un sur un téton dur et l'autre sur la verge. Les gémissements du Père Noël continuent; de plus en plus fréquents.
Martin en a assez de ne sentir que du tissu. Il veut la chair. Il se penche un peu plus, pose ses lèvres sur l'entre jambe et avec ses mains libres commencent à défaire la ceinture et les boutons qui lui bloquent l'accès. Pendant ce temps, une grande main est venu se poser à l'arrière de son crane et appuie. Le visage du lutin est complètement écrasé contre l'entrejambe. Cette fois-ci, c'est lui qui gémit de plaisir. Il tente de rester dans cette position, voulant profiter de l'odeur et de la sensation le plus possible mais doit tourner la tête pour respirer un peu.
Pendant ce temps, ses mains ont réussi à défaire la ceinture. Tout en frottant sa joue contre le membre, il défait un à un les boutons du pantalon. L'accès est enfin libre. Il peut glisser une des mains directement sur la peau. Et c'est ce qu'il fait. Sa main gauche rampe à travers la toison et attrape la base de la verge. Délicatement, il la dégage de son carcan de tissu. Son visage n'est plus comprimé, même si la grande main est toujours posée sur sa tête.
Martin bouge un peu, il se redresse. Sa main gauche continue à tenir la base de la verge avec fermeté, comme si elle était greffée à cet endroit. Avec la main droite, il prend appui sur la cuisse (la caressant au passage) et se rapproche.
Et soudain, avec un grand mouvement de tête, Martin engloutit le pieu de chair qui se dresse devant lui jusqu'à la garde. Grand gémissement du Père Noël qui subit ce tendre assaut. C'est aussi pour ça qu'il aime Martin; à la fois pour sa capacité à savoir quand son chef a besoin de lui et pour ses capacités physiques. Sa verge est maintenant engloutie dans la bouche chaude et humide de son assistant. Il sent la langue lécher le dessous de sa verge et la gorge presser le bout. C'est tellement bon! Puis Martin écarte un peu sa tête, serrant quand même les lèvres. Il respire un peu, reprend son souffle, sans jamais abandonner le dur membre entre ses lèvres. Ayant repris sa respiration, il repart à l'assaut, cette fois par à-coups rapides, avec force va-et-vient. Très rapidement, le Père Noël recommence à gémir, sous l'assaut que subit son chibre. Ce dernier commence à tressaillir. Le lutin sent alors la main agripper ses cheveux et tirer sa tête en arrière.
"Calmez-vous, Martin. Il me semble me souvenir que votre cul est aussi doué que votre bouche et je veux profiter des deux.
- Oui, Père Noël."
Le lutin reste à genoux pendant que son chef se dresse. Il lève un regard admiratif vers la montagne de muscles et de poils qui le surplombe. Il peut voir ainsi les muscles bouger pendant que le Père Noël se débarrasse de son bonnet et de sa tunique blanche. Le Père Noël se penche, attrape le lutin par ses épaules et le soulève de terre sans effort. Il le repose sur ses pieds, passe une grosse main sur le torse du lutin puis défait la ceinture et les boutons du pantalon. Cette fois-ci, c'est le lutin qui se laisse déshabiller et manipuler. Mais les gestes sont les mêmes. Le pantalon est ouvert, le membre est sorti et caressé, le tout avec douceur. L'engin de Martin n'avait pas vraiment besoin d'être cajolé, il était déjà bien dur, mais les douces manipulations du Père Noël font monter la température de Martin. Celui-ci devient très chaud, au sens propre comme au sens figuré. Le Père Noël le retourne alors face au bureau et appuie sur le haut de son dos.
"Penchez-vous, Martin et accrochez vous au bureau.
- Oui, Père Noël."
Le lutin se met en place. A peine positionné, il sent un froid visqueux se poser sur sa rondelle. Les doigts du Père Noël frottent sa raie et chatouillent sa rondelle, déposant le gel avec application. Sa main gauche se pose sur la taille du lutin et avec la droite il guide sa verge dure vers le trou de Martin. Il s'introduit, doucement mais sûrement, sans jamais s'arrêter. Lorsque enfin il est entré jusqu'à la garde, il ne bouge plus. Martin en profite pour reprendre son souffle et s'habituer à cet énorme engin qui l'emplit complètement. Le Père Noël commence alors quelques mouvements de bassin latéraux afin de bien se mettre en place, puis entame un va-et-vient. Doucement d'abord. A chaque fois, il se retire presque jusqu'au bout, puis s'enfonce à nouveau jusqu'à la garde. Martin reçoit ces mouvements avec grand plaisir, si l'on en croit les gémissements qui s'échappent de lui. Puis le Père Noël attrape la taille de Martin avec ses deux grandes mains puis accélère le rythme. Cette fois, ce n'est plus une introduction lente et douce, mais des grands coups de butoir. Chaque coup arrache un petit cri de plaisir au lutin.
Après quelques-uns de ces allers-retours, le Père Noël s'arrête brusquement. Il est à nouveau enfoncé dans Martin, sa verge emplissant complètement le cul du lutin. Martin relève la tête, émettant un petit son interrogateur.
"Ce n'est rien. Je veux juste en profiter encore et il me faut me calmer un peu." Entendant ceci, Martin, repose son visage sur le bureau. Il a tout à fait confiance en son chef et le laisse faire ce qu'il veut. Au bout de quelques secondes, les va-et-vient reprennent, directement rapides et brutaux. Le Père Noël prend son plaisir avec son lutin, comme il le souhaite. Il commence à gémir, lui aussi. Une de ses mains attrape le chibre du lutin et commence à le caresser avec ardeur. Enfin, il se plante d'un grand coup dans Martin. Poussant un long râle, il se vide dans l'intestin de son lutin. Au même moment, vaincu par les sensations qui l'attaquent de toute part, Martin éjacule lui aussi.
Pendant quelques instants, les deux hommes restent dans cette position, reprenant leurs esprits. Puis le Père Noël se retire et pose une main sur l'épaule de Martin. Il tire pour que le lutin se redresse, puis se dirige avec lui vers une porte. De l'autre coté de la porte, se trouve une douche bien chaude et bien méritée. Pendant leurs ablutions, le Père Noël remercie le lutin, en paroles et en baisers. Martin accepte la reconnaissance de son souverain. Il sait la charge qui pèse sur lui. Il sait aussi que ce n'est ni la première, ni la dernière fois qu'il permet au Père Noël d'oublier cette charge et de se débarrasser de la pression qui l'accable.