< !DOCTYPE html> Dream Nephilim - "Rencontre dans les embouteillages."

Rencontre dans les embouteillages.

Publié le 13/06/2023
Tags: #gay #sexe entre hommes #consensuel #anal #oral #partouze #vanilla
Longueur : 3349 mots.

Malgré les embouteillages, je ne regrette pas d'avoir pris le périphérique un vendredi soir de vacances à 18h30. Il faut dire que j'y fis une rencontre dont le souvenir restera longtemps en moi.

Je dis « je », mais c'est plutôt « nous ». Pendant que mon homme conduisait, je regardais les autres voitures coincées avec nous. Et un peu en avant de nous, sur la voie du centre, j'aperçus une espèce de mini-bus rouge, immatriculé en région Bretagne et arborant un drapeau blanc avec une colombe au rameau sur tout le pare-brise arrière. Forcement, mon regard fut attiré et, alors que mon homme arrivait au niveau du véhicule, je jetai un œil par la fenêtre. Bien m'en a pris, ce que je pus apercevoir était magnifique.

Une demi-douzaine de mâles, tous torses-nus, bronzés et musclés. Certains portaient un tour de cou, un peu comme un nœud-papillon. Le mini-bus arborait en plus un blason, un peu comme un transport de pompiers. Je n'en croyais pas mes yeux. Et malheureusement, notre file avançant plus vite que la leur, je ne pus pas voir grand-chose de plus.

Sauf que. Juste après les avoir dépassés, mon homme me dit que le mini-bus changeait de file et se dirigeait vers la même sortie que nous. C'était un signe que je ne pouvais pas laisser passer. Je me retournai sur mon siège et commençai à leur faire signe. Au début, ils ne comprirent pas trop qui était ce fou qui leur faisait des signes de main, mais après que j'eus passé lentement ma langue sur mes lèvres avec un regard assez coquin, le message passa. Je leur fis signe de nous suivre. Heureusement que nous n'allions pas loin, vu que mon homme regardait plus souvent son rétroviseur central que la route devant lui. Nous les avons menés jusqu'au fast-food le plus proche. Là, nous nous sommes garés sur le parking et nous sommes tous descendus de nos véhicules. Nous avons pu alors en profiter bien plus. Ils étaient cinq, de tailles différentes, mais tous plus grand qu'1m80. Le conducteur était le plus vieux du groupe, ainsi que le chef. Il marchait comme si le monde lui appartenait, mais son sourire et le regard des ses yeux gris étaient si agréables qu'on ne pouvait pas lui en vouloir. Ses cheveux bruns, sans être rasés, étaient très courts. Idem pour sa barbe. Il portait un pantacourt bleu marine et des fines baskets blanches. Il avait récupéré son t-shirt, blanc lui aussi, avant de descendre du véhicule et l'avait jeté négligemment sur son épaule. Le blanc tranchait avec la couleur naturellement hâlée de sa peau. Moins contrastée bien que tout aussi visible, une longue cicatrice courait sur son flanc droit. Le passager de devant lui ressemblait énormément, presque comme son jumeau, mais avec quelques années de moins. Et sans cicatrice. Il portait lui aussi un pantacourt bleu marine, mais avec des tongs noires. Avant que j'aie pu détailler les autres, le chef nous rejoignit pour nous serrer la main et entamer la conversation.

« Alors, les garçons, ça va ?

- Bien bien, et vous ? Vous avez fait bonne route ?

- Ça allait. Ça roulait bien. On peut faire quelque chose pour vous ?

- Ben, c'est plutôt l'inverse. Vous semblez venir de loin et on s'est dit que vous auriez peut-être envie de faire une pause pendant que ça se libère sur la route. Envie de vous … relaxer. De vous détendre. » Mon regard était assez appuyé pour donner un sens précis à mes mots. Mon homme matait tant qu'il pouvait et n'allait pas tarder à baver.

« Eh bien, pourquoi pas. Je pense que mon groupe aimerait beaucoup faire une telle pause. Pas vrai, les gars ? » Un chœur de « Oui, Dom ! » francs lui répondit. Ce qui laissait présager de bonnes choses pour le futur proche. Je repris :

« Voilà ce que je vous propose : on prend de quoi s’hydrater ici et on va se poser autour de notre piscine. On sera plus tranquille et on pourra en profiter pour se rafraîchir. Je monterai avec vous et l'un de vous ira avec mon homme. » Le plan fut accepté. En attendant nos commandes, nous avons fait les présentations. Le chef s'appelait Dominique et avait effectivement quelques années de plus que les autres. Le passager de devant s’appelait Matthieu. Lorsque je leur fis remarquer la ressemblance, Dominique rit facilement, mais Matthieu fit un peu la moue, comme si ça le dérangeait. Les autres membres du groupe étaient plus différents.

Marc avait des cheveux blonds, d'une longueur juste nécessaire pour qu'on puisse voir une crinière de grosses boucles bien fournies. Ses yeux étaient marron clairs, presque jaunes. Il était le plus bronzé de tous et avaient une magnifique couleur de peau. En plus du même pantacourt bleu marine que ses collègues, il portait un t-shirt beige et des baskets légères. Ces vêtements laissaient voir de nombreux poils sur ses membres, de la même couleur que ses cheveux. Il avait aussi un des tours de cou que j'avais aperçus. Il s'agissait vraiment de ça : une bande de tissu blanc entourant la base de son cou. Pas de fioriture, pas de décoration. Cette bande permettait de faire ressortir à la fois le hâle de la peau et les muscles de son cou. Sa musculature ne dépareillait pas au milieu des autres, mais il n'était pas le plus musclé.

Le plus musclé était Luc. Il avait les plus gros pectoraux du groupe. Ses épaules étaient très larges, sans être disproportionnées. Il avait des cheveux courts et très noirs. Ses yeux étaient sombres eux aussi, bien que peu expressifs. Il portait le même pantacourt que les autres, un t-shirt noir et un tour de cou de la même couleur. Lui aussi était poilu. Il était le moins grand du groupe, ce qui accentuait l'épaisseur de son torse et son cou de taureau. Par rapport aux autres, il semblait trapu. Par rapport à lui, j’avais l’air de ne pas avoir fini ma période de croissance.

Au contraire, le dernier était le plus grand. Il s'appelait Jean. Il était plus filiforme que les autres. Sans avoir honte de sa musculature. Ses yeux étaient bleu vif et perçants comme ceux d'un aigle. Ses cheveux châtains descendaient bas dans son dos, regroupés sur sa nuque par une lanière de cuir. Pas de tour de cou pour Jean, mais un t-shirt bleu et le même pantacourt que les autres. Et pas un poil de visible.

Après avoir récupéré nos commandes, nous sommes repartis vers la résidence. Je montai dans le mini-bus pendant que Marc accompagnait mon homme. Dix minutes plus tard, nous étions tous en train de boire quelques jus de fruits frais ou autres thés glacés au bord de la piscine. Nous étions tous torses nus et déchaussés pour profiter des rayons du soleil. Les boissons furent vite expédié. Après un passage dans notre appartement pour nous changer, nous sommes redescendus pour profiter de l'eau fraîche. J'eus un peu de mal à rentrer dans l'eau, comme d'habitude, contrairement aux autres. Apres s'être mouillés sous la douche, ils sautèrent directement dans l'eau. C'était un plaisir de les voir. Ils s'amusaient comme des petits fous, à s'éclabousser, à se couler, à se sauter dessus. Et puis surtout, leurs muscles étaient bien visibles. En fait, tout était visible. Nos invités semblaient être plus adeptes du maillot moulant que du caleçon large. Au bout de quelques minutes à jouer dans l'eau, quasiment tout était dévoilé. Ils nous proposèrent un petit jeu. Mon homme et moi allions monter sur les épaules de deux d'entre eux et essayer de faire tomber l'autre. Je choisis Jean et mon homme fit équipe avec le bouclé. Luc et Matthieu se mirent ensemble de façon à faire 3 équipes. Dominique nous regardait faire. Avec à peine un regard rapide, mon homme et moi décidâmes d'attaquer ensemble l'équipe de Luc et Matthieu. Ils étaient plus fort que nous et seraient impossibles à battre à un contre un. Par contre, ils n'ont pas fait long feu contre nous deux. L'eau les avait rendus glissants et ils se défendaient bien, mais nous avons quand même réussi à les faire tomber. Le combat entre nous deux fut plus long. Heureusement que nos « porteurs » étaient musclés. Bien sûr, ça assurait une certaine stabilité, mais en plus, leurs épaules étaient plutôt confortables. Le combat dura surtout parce que nos « porteurs » avaient d'autres idées en tête. Sous couvert de me soutenir, Jean caressait mes cuisses avec ses mains. Luc se tenait derrière moi et soutenait mes fesses avec les paumes de ses mains. Je voyais que Matthieu soutenait mon homme de la même manière. À force de caresses, je sentis mon entrejambe durcir. Du moins, encore plus qu'avant. Jean dut le sentir lui aussi puisqu'il pencha sa tête en arrière et la bougea de manière à me caresser d'une autre manière. C'était un peu primaire comme caresse, mais le message était très clair. Je proposai un match nul à mon homme. Nous sommes descendus de nos montures, recevant d'autres caresses au passage. Nous sommes ensuite sortis de l'eau et avons regroupé nos affaires pour rentrer.

Une fois à l'intérieur de notre appartement, les choses sérieuses ont commencé. Je venais à peine de refermer la porte que Jean me sautait déjà dessus. Il prit ma tête entre ses mains et m'embrassa sauvagement, faisant entrer sa langue dans ma bouche. Tout le temps que dura notre baiser, il bloqua ma tête. Ce qui m'empêchait de voir à qui exactement appartenait les mains qui caressaient mon dos puis firent descendre mon maillot sur mes chevilles. En tout cas, c'était quelqu'un qui savait y faire. Il passa rapidement ses mains sur mon dos, puis s'occupa de mes fesses. Tout d'abord, il les malaxa puis les écarta, exposant mon trou à la vue de quiconque était derrière moi. Quelqu'un en profita puisque je sentis un doigt glisser le long de ma raie et s'arrêter à ma rondelle. Jean continuait à occuper mon visage, stoppant pour respirer un court moment et planter ses yeux dans les miens, avant de repartir à l'assaut de ma langue. Pendant ce temps, le mec derrière moi continuait à se faire plaisir. Avec surprise, je sentis sa langue sur ma peau. D'abord au niveau de ma nuque, juste la pointe. Puis petit à petit, descendant le long de ma colonne vertébrale. C'était très doux. Très différent de la sauvagerie du baiser de Jean. Je sentais juste ce petit bout de chair humide descendre et descendre et descendre, jusqu'à atteindre le début de ma raie. Je pensais qu'il allait s'arrêter là. Je me trompais. Changeant de rythme, la langue attaqua mon cul. Ce n'était plus une petite caresse légère, mais un bouffage de cul en règle. Petit à petit, je me sentais m’ouvrir. Et ma bite pointait devant moi, frottant contre la jambe de Jean. La langue se retira. Une main poussa entre mes omoplates. Je commençai à avancer, mais une autre main retint mon bassin. Je me retrouvai plié en deux, mon visage à hauteur de l’entrejambe gonflée de Jean. D’une main, il fit sortir sa bite circoncise de son maillot de bain. De l’autre, il releva mon menton pour capter mon regard. Il eut un sourire un peu hautain avant de guider son membre entre mes lèvres. D’abord, j’y retrouvai une fraîcheur et un goût de chlore, mais rapidement la chaleur revint. Et le goût. Les bites ont bon goût, je pense ne jamais m’en lasser. Je voulus me reculer pour lécher et donner des coups de langue, mais encore une fois Jean prit ma tête entre ses mains et me maintint en place. Il savait ce qu’il voulait et c’était sa bite dans ma bouche. Je serrai mes lèvres et utilisai ma langue au mieux. Mais je fus légèrement déconcentré. Une autre bite voulait entrer en moi, par derrière cette fois. Heureusement qu’une langue m’avait préparé parce que je sentis que la bite était bien épaisse. Je fit mon possible pour me relâcher et la laisser entrer, délaissant Jean devant moi. Il ne s’en offusqua pas. Il se mit à faire des aller-retours brusques, se servant de ma bouche comme d’un simple trou chaud. Mais j’avais ma fierté. J’attendis que la bite derriere moi rentre à fond, j’attendis de sentir son entrejambe contre mes fesses. Quand ce fut le cas, quand je sus qu’on allait passer aux choses sérieuses, je me reconcentrai. Ma langue reprit son service contre la bite de Jean. Et je serrai les muscles de mon cul autour de celle qui s’y trouvait. Très rapidement, Jean et son comparse se mirent à gémir de plaisir. Je sentis Jean durcir encore et je redoublai d’efforts. Lorsqu’il se retira d’un coup sec, ce fut moi qui gémis, triste de perdre cette verge.

« Tu me finiras plus tard. Occupe toi de Luc, plutôt. »

Les deux mains qui me tenaient jusque là par les hanches se posèrent sur mes pectoraux et me redressèrent. Luc, puisque c’était lui, me guida quelques pas en avant tout en me gardant empalé sur sa queue. Arrivé sur le tapis du salon, il me guida pour me mettre à quatre pattes, lentement pour que je ne puisse pas me séparer de lui. Je n’en avais de toute façon pas l’intention. Je tournai la tête et aperçus Jean, assis sur le canapé, qui nous regardait en se touchant. Mais c’était Luc mon partenaire du moment. Son corps, lui aussi à quatre pattes, m’enveloppait et sa bouche se tenait proche de mon oreille.

« Prêt ? J’espère que tu es résistant parce qu’on va changer de rythme. »

Luc tint promesse. Je me rendis compte qu’il s’était retenu jusque là. À partir de ce moment là, comme promis, il accéléra le rythme ainsi que la force de ses va-et-vient. Ses cuisses frappaient mes fesses en claquant. Je découvris que ses couilles étaient plutôt pendantes en les sentant taper les miennes. Mais surtout, surtout, je sentais sa bite m’élargir le cul. Elle était plus large que ce dont j’avais l’habitude. Ce qui n’était nullement un reproche. Bien au contraire, j’en retirais un grand plaisir. Et apparemment lui aussi.

« Il est bon, ton cul. Il me plaît. »

Avec un coup sec qui me fit gémir, il se tint à l’intérieur sans plus bouger. Presque. Sa bite changeait légèrement de taille par à-coups, grossissant et rétrécissant, impossible à oublier.

« Ça te plaît, hein ? » Dit-il entre deux halètements. Je ne répondis que par un gémissement. « J’en étais sûr. »

Il se redressa un peu. Et il reprit ses coups de bassin. Il retirait à peine sa bite et tentait de s’enfoncer plus profond à chaque coup. Puis ses grognements s’amplifièrent. À un moment, il s’arrêta de bouger, bite enfoncée à fond, et poussa un fort gémissement, presque un beuglement. Et sa bite tressauta dans mon cul. Il jouissait en moi. Je me sentais satisfait de lui avoir apporté du plaisir mais un peu déçu de ne pas avoir atteint le mien. Me tenant sur un bras, je portai mon autre main vers ma bite toujours en érection. Jean se précipita sur moi et me retint. Toujours contre mon oreille, Luc me parla entre deux inspirations.

« Non, non, garçon. On ne triche pas. C’est Jean qui va te faire jouir. Et sans les mains. »

Luc se leva, me prit dans ses bras et alla me déposer sur le canapé. Couché de tout mon long, la bite dressée vers le plafond, je tentai encore une fois de la prendre en main. Cette fois, ce fut Luc qui me retint. Il tira mes bras au dessus de ma tête et les maintint là.

« Jean aime bien être au dessus. Ou accroché à un sling. »

En effet, le plus filiforme des nos invités se mit debout sur le canapé, un pied de chaque coté de mes hanches. Puis il s’accroupit, venant s’empaler sur ma bite jusque là délaissée. C’était bon ! Jean savait se servir de son cul. Dans un premier temps, il s’assit sur moi, s’assurant de bien m’accueillir jusqu’à la racine. Je rentrai en lui sans problème. Il se trémoussa un peu, lentement. Il serra ses muscles internes autour de ma bite. Je tentai de bouger mon propre bassin pour imposer mon rythme, mais il me retint avec ses mains sur mes abdos.

« Toujours pas ! C’est pas parce que c’est toi qui pénètre que c’est toi qui mène. »

Luc s’était agenouillé sur le bord du canapé, coinçant mes poignets sous ses chevilles et ma tête entre ses cuisses. Ses muscles encore chauds m’encadraient. Son odeur, mélange de sueur et de sperme, m’entourait. Cependant Jean se mit à agir et j’oubliai Luc. S’accroupissant et se relevant tour à tour, il entama des va-et-vient sur mon pieu. Sa propre bite, bien dressée vers le ciel, était assez dure pour ne pas bouger. La mienne vibrait de plaisir. J’étais deja bien excité de tout ce qu’il s’était passé avant, mais Jean avait assez de compétences pour exciter et faire monter, même à froid.

Il avait commencé lentement. Lorsqu’il se rendit compte que ce n’était pas ma préférence, il accéléra le rythme. Je me sentais approcher du point de non-retour, mais je voulais faire durer plus longtemps. Luc caressa mon menton et ma gorge.

« Laisse toi aller. Jouis. Il n’attend que ça. Et toi aussi. »

J’obéis. Et je remplis le cul de Jean de mon sperme. Le sentant, il éjacula lui aussi, avec un cri strident. Son sperme jaillit vers le plafond et retomba sur moi à grosses gouttes. Mon torse se retrouva à la fois recouvert de son sperme et griffé par les ongles que Jean y avait planté.

Pendant que Jean et moi reprenions notre souffle, Luc passa ses doigts sur mon corps pour y récolter le sperme de Jean. Il les approcha de ma bouche et je les léchai et suçai goulument, dégustant enfin la dose que j’espérais. J’avais encore ma bite dans le cul de Jean et les doigts de Luc dans ma bouche quand j’entendis venir de l’autre bout de l’appartement deux autres gémissements de plaisir et ce qui ne pouvait être décrit que comme un rugissement. Je reconnus immédiatement l’un de ces gémissements et compris que mon homme devait se trouver avec les autres membres du groupe.

« Matthieu et Marc semblent s’être amusé avec ton mec, garçon.

– Tant mieux. J’espère qu’il me racontera, surtout s’ils sont aussi doués que vous deux.

– Tu peux en être sûr et certain. Nous avons tous reçu le même enseignement. »

J’aurais aimé en savoir plus, mais la porte de l’appartement s’ouvrit, laissant entrer Dominique chargé de cartons de pizzas. L’odeur qui l’accompagnait fit grogner mon estomac. Il rit.

« Personne ne mange avant d’avoir pris une douche. On ne mélange pas le sperme et la pizza, par respect pour les deux. »

Luc se leva, me libérant les bras. Jean se leva aussi, libérant ma bite de son cul. Ils me regardèrent m’extraire du canapé.

« Nous avons deux salles de bain, mais je passe en premier sur une des deux, c’est moi qui colle le plus. »

Ils rirent tous les trois. Luc et Jean me suivirent dans le couloir. En passant devant la chambre d’amis, je vis mon homme en sandwich entre Marc et Matthieu, leurs trois peaux luisantes, chacun avec un sourire béat.

Ils n’avaient toujours pas bougé quand je sorti de ma douche et je dus les secouer pour qu’ils nous rejoignent à table après leurs douches.

Autour des pizzas, nos quatre partenaires remercièrent Dominique à l’unisson. J’y ajoutai nos propres remerciements et voulus en payer une partie. Mais Dominique n’accepta pas.

« J’en ai eu six pour le prix de deux, je ne vais pas vous les faire payer.

– Six pour le prix de deux ? Mais comment ? ?

– J’ai une technique personnelle spéciale. » Me rétorqua-t-il avec un grand sourire. Mais il refusa d’en dire plus.

« Vous voulez passer la nuit ici ? On n’a pas beaucoup de place, mais vous pourrez vous reposer. »

Dominique me répondit immédiatement.

« Je suis sûr que mes gars adoreraient, mais nous avons encore de la route à faire. Je n’ai qu’un weekend de trois jours, je dois remonter lundi. »

Ils repartirent après une dernière tournée de cafés et quelques caresses appuyées en guise d’adieu.

Image stylisée d'une silhoutte humaine attachée dans une cage. L'humain est couché sur le ventre, poignets et chevilles reliés par une corde dans son dos. Il porte un bandeau sur les yeux. La cage est complétée d'une grosse serrure.